Le commerce charnel de mes contemporains est à l'image de cette société d'impuissants chimiquement assistés, d'homosexuels pleurnichards et de mâles culturellement castrés : incolore.
Le romantisme citadin parfaitement niaiseux d'influence médiatico-cinématographico-publicitaire a corrompu les rapports amoureux de millions de couples moralement avachis. Jusque dans l'intimité des hyménées, au fond des secrètes alcôves cette idée frelatée de l'amour -fabriquée de toutes pièces par les marchands de lessive et également colportée par Hollywood- s'est imposée dans notre civilisation d'eunuques.
La soupe aux navets est devenue la norme.
Les Vénus redoutables, amantes originelles, hôtes superbes et vaillantes de l'Olympe ont disparu. Cette société de castrats frileux a fait de la femme une ménagère, une écervelée éprise de "partage amoureux", une poire aspirant à des "moments sublimes", une idéaliste d'opérette en quête de niaiseries érotico-égalitaires et de contacts protégés, d'échanges hygiéniques...
Le mâle quant à lui est devenu un coquet. Un douillet. Un scrupuleux à l'écoute des "revendications féminines". Bref, un coquelet épilé qui sent le parfum de la crête à la plume finale. Le prince charmant ne pique pas, ne transpire pas, ne crache pas. Mais pleure. Bien entendu il sera émasculé, depuis le cerveau jusqu'aux ongles des pieds qu'il aura, éventuellement, finement oint de vernis.
Notre société a inculqué à ses membres ramollis une image parfaitement dénaturée de l'amour et du plaisir. Il en ressort une culture érotique polluée par le bavardage publicitaire et médiatique se manifestant par une sorte de mélasse relationnelle insipide où humanisme de salon et pratiques lénifiantes se côtoient pour un résultat "politiquement édulcoré". Ce qui fait que les vrais mâles sont entourés de dindes aseptisées pleines de chimères "romantico-lessivières" dans la tête, la mentalité pervertie par les "contes de comdom" et les histoires d'égalité des sexes, de féminisme, de partage, de respect, de tendresse...
Egalité des sexes, partage, respect, tendresse : principes élémentaires de la relation amoureuse, prétendront les efféminés.
Faut-il que tonne plus fort la voix virile de la vérité, qu'elle couvre le sifflet de leur hérésie, qu'elle les fasse trembler, ces moineaux, ces vaincus-nés ? Le vrai mâle, celui dont on n'a pas encore bagué les doigts de pieds, lui prétend que ce sont là des moeurs intimes à la sauce urbaine, pitoyables. Des bêtises inconsistantes issues de cervelles de poulets. Des sornettes inventées par des esprits châtrés contaminés par la publicité, le cinéma et les médias !
Edulcorants hollywoodiens alliés aux antiseptiques cérébraux, ainsi est composée la soupe aux navets évoquée plus haut.
Cette conception de l'amour totalement indigente -aux antipodes de la flamme charnelle ardente- initiée par les vendeurs de fromage blanc et de poudre à laver est devenue le lieu commun de l'homme et de la femme d'aujourd'hui. Comment s'étonner après si des femelles élevées aux "idées chimiques" et qui ont par conséquent grandi avec des habitudes contre leur nature dans le culte de l'insignifiance amoureuse, non contentes de rêver stérilement de "partage", de "moments sublimes" comme elles disent si sottement, réclament concrètement ce genre d'imbécillités quand un mâle, un vrai, daigne honorer leur petitesse congénitale ?
Ces dindes farcies de balivernes inodores, pétries d'idéal conjugal standard déclarent avec un air éthéré de circonstance que le sexe est sacré, que le plaisir des sens est un temple, que l'accouplement humain a une dimension quasi religieuse !
La vérité, c'est que ce sont les vendeurs de Coca-Cola de Hollywood qui ont sacralisé le sexe afin de mieux vendre leur jus ! Ils auraient pu sacraliser les betteraves à sucre, les roues de brouettes, les tuyaux d'échappement des tracteurs ou les orteils des eunuques sénégalais, mais ils ont choisi le sexe car c'est ce qui fait le mieux vendre.
C'est même un blasphème que de sacraliser ainsi le sexe car c'est l'esprit qui devrait être sacralisé et non les instincts de reproduction ! Nous avons été contaminés par les vendeurs de soupe. Ils nous ont inculqué leurs valeurs mercantiles outrancières au point que l'on s'est insidieusement mis à penser selon leurs normes. Ce qui est réellement sacré, c'est la pensée, l'esprit, la réflexion, l'âme et non le sexe. Si on accepte de sacraliser ainsi le sexe, pourquoi alors ne pas sacraliser le plaisir du manger, les nécessités de la défécation ou l'inanité du bavardage insipide ? Ce sont aussi des actes naturels à l'homme...
Après les bagnoles, les lessives, les pots de yaourt, ce sont les téléphones portables qui ont été "sexualisés" par les professionnels du marketing.
La femme est devenue un menu volatile et l'homme un gros mulet.
Le romantisme citadin parfaitement niaiseux d'influence médiatico-cinématographico-publicitaire a corrompu les rapports amoureux de millions de couples moralement avachis. Jusque dans l'intimité des hyménées, au fond des secrètes alcôves cette idée frelatée de l'amour -fabriquée de toutes pièces par les marchands de lessive et également colportée par Hollywood- s'est imposée dans notre civilisation d'eunuques.
La soupe aux navets est devenue la norme.
Les Vénus redoutables, amantes originelles, hôtes superbes et vaillantes de l'Olympe ont disparu. Cette société de castrats frileux a fait de la femme une ménagère, une écervelée éprise de "partage amoureux", une poire aspirant à des "moments sublimes", une idéaliste d'opérette en quête de niaiseries érotico-égalitaires et de contacts protégés, d'échanges hygiéniques...
Le mâle quant à lui est devenu un coquet. Un douillet. Un scrupuleux à l'écoute des "revendications féminines". Bref, un coquelet épilé qui sent le parfum de la crête à la plume finale. Le prince charmant ne pique pas, ne transpire pas, ne crache pas. Mais pleure. Bien entendu il sera émasculé, depuis le cerveau jusqu'aux ongles des pieds qu'il aura, éventuellement, finement oint de vernis.
Notre société a inculqué à ses membres ramollis une image parfaitement dénaturée de l'amour et du plaisir. Il en ressort une culture érotique polluée par le bavardage publicitaire et médiatique se manifestant par une sorte de mélasse relationnelle insipide où humanisme de salon et pratiques lénifiantes se côtoient pour un résultat "politiquement édulcoré". Ce qui fait que les vrais mâles sont entourés de dindes aseptisées pleines de chimères "romantico-lessivières" dans la tête, la mentalité pervertie par les "contes de comdom" et les histoires d'égalité des sexes, de féminisme, de partage, de respect, de tendresse...
Egalité des sexes, partage, respect, tendresse : principes élémentaires de la relation amoureuse, prétendront les efféminés.
Faut-il que tonne plus fort la voix virile de la vérité, qu'elle couvre le sifflet de leur hérésie, qu'elle les fasse trembler, ces moineaux, ces vaincus-nés ? Le vrai mâle, celui dont on n'a pas encore bagué les doigts de pieds, lui prétend que ce sont là des moeurs intimes à la sauce urbaine, pitoyables. Des bêtises inconsistantes issues de cervelles de poulets. Des sornettes inventées par des esprits châtrés contaminés par la publicité, le cinéma et les médias !
Edulcorants hollywoodiens alliés aux antiseptiques cérébraux, ainsi est composée la soupe aux navets évoquée plus haut.
Cette conception de l'amour totalement indigente -aux antipodes de la flamme charnelle ardente- initiée par les vendeurs de fromage blanc et de poudre à laver est devenue le lieu commun de l'homme et de la femme d'aujourd'hui. Comment s'étonner après si des femelles élevées aux "idées chimiques" et qui ont par conséquent grandi avec des habitudes contre leur nature dans le culte de l'insignifiance amoureuse, non contentes de rêver stérilement de "partage", de "moments sublimes" comme elles disent si sottement, réclament concrètement ce genre d'imbécillités quand un mâle, un vrai, daigne honorer leur petitesse congénitale ?
Ces dindes farcies de balivernes inodores, pétries d'idéal conjugal standard déclarent avec un air éthéré de circonstance que le sexe est sacré, que le plaisir des sens est un temple, que l'accouplement humain a une dimension quasi religieuse !
La vérité, c'est que ce sont les vendeurs de Coca-Cola de Hollywood qui ont sacralisé le sexe afin de mieux vendre leur jus ! Ils auraient pu sacraliser les betteraves à sucre, les roues de brouettes, les tuyaux d'échappement des tracteurs ou les orteils des eunuques sénégalais, mais ils ont choisi le sexe car c'est ce qui fait le mieux vendre.
C'est même un blasphème que de sacraliser ainsi le sexe car c'est l'esprit qui devrait être sacralisé et non les instincts de reproduction ! Nous avons été contaminés par les vendeurs de soupe. Ils nous ont inculqué leurs valeurs mercantiles outrancières au point que l'on s'est insidieusement mis à penser selon leurs normes. Ce qui est réellement sacré, c'est la pensée, l'esprit, la réflexion, l'âme et non le sexe. Si on accepte de sacraliser ainsi le sexe, pourquoi alors ne pas sacraliser le plaisir du manger, les nécessités de la défécation ou l'inanité du bavardage insipide ? Ce sont aussi des actes naturels à l'homme...
Après les bagnoles, les lessives, les pots de yaourt, ce sont les téléphones portables qui ont été "sexualisés" par les professionnels du marketing.
La femme est devenue un menu volatile et l'homme un gros mulet.
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